Peu courant, son prénom - donné par une mère ayant toujours admiré Jacqueline Kennedy - lui a permis dès le départ de se différencier des autres modèles de sa génération. Or, dans la jungle des castings, ce léger atout peut valoir son pesant d'or. Jacquelyn Jablonski l'a d'ailleurs bien compris : alors qu'on lui suggéra à plusieurs reprises d'adopter le surnom "Jacky", la belle a toujours tenu à conserver son prénom de baptême. Cela lui a semble-t-il porté chance...
Pour cette Américaine - elle vit dans le New Jersey - aux origines polonaises, allemandes et irlandaises, tout commence en 2007, lorsqu'elle est découverte dans un café par un talent scout. Accompagnée de sa mère, elle part alors à New York faire des photos, qui ne tarderont pas à séduire l'agence Ford. Peu après, Jacquelyn Jablonski parvient à se hisser parmi les finalistes du concours "Ford Supermodel of the World"...
Oui mais voilà, la jeune fille n'a alors que 16 ans et son statut de lycéenne ne lui permet pas d'embrasser à plein temps le métier de mannequin. Retenue en cours, elle suit avec envie - via Style.com - les fashion weeks auxquelles elle ne peut pas participer, ce qui ne l'empêche pas de poser pour la campagne Calvin Klein Jeans de l'automne/hiver 2009.
Cette période frustrante ne dure heureusement qu'un temps : une fois son diplôme en poche, la jeune femme rattrape son retard et apparaît dans pas moins de 58 shows. Pour tenir le coup, elle compte avant tout sur le soutien de son agence (qui l'entoure beaucoup), mais aussi sur l'amitié des autres mannequins.
Immergée en plein coeur de l'action, Jacquelyn réalise alors que le milieu de la mode n'a pas grand-chose à voir avec l'image qu'elle s'en faisait jusque-là, celui-ci s'avérant bien plus atypique et intense que ce qu'elle pouvait imaginer.
Par ailleurs, si cette jeune femme aux charmantes taches de rousseur a littéralement trusté les deux dernières saisons de fashion weeks, eut le privilège de défiler en janvier sur le show Chanel haute couture, fait la couverture de Russh et Cover, posé - entre autres - pour W, V Magazine, Harper's Bazaar ou encore pour le look book d'Alexander Wang, elle n'en garde pas moins des réflexes de jeune adulte à peine sortie de l'enfance.
Elle continue ainsi de consommer des céréales au yaourt au petit déjeuner, adore les cookies au chocolat, mais aussi tout ce qui contient du beurre de cacahuètes... Elle avoue également ne pas parvenir à gérer le contenu de ses bagages de manière optimale, ne pas aimer se maquiller et se contenter de se laver la peau matin et soir en guise de rituel beauté.
En outre, son agenda a beau être plus que rempli et les critiques à son égard hautement prometteuses, Jacquelyn Jablonski parvient à rester humble. Au dire de sa mère, cette faculté à garder les pieds sur terre en toutes circonstances lui vient d'une enfance passée aux côtés d'un grand frère autiste.
Point de vue look, la jeune femme classe Balenciaga parmi ses chouchous. Il faut dire que possédant une silhouette lui permettant de se glisser dans les pantalons ultra skinny signés Ghesquière, Jacquelyn aurait tort de bouder son plaisir...
Par ailleurs, contrairement à certaines de ses consoeurs (qui n'hésitent pas à arborer une dégaine grunge ou 100% cool à la sortie des défilés), Jacquelyn Jablonski préfère être toujours parfaitement lookée afin de faire bonne impression à ceux qu'elle croise, mais aussi pour éviter de se retrouver sur internet dans une tenue improbable.
Ultra professionnelle et dotée d'une beauté froide hypnotisante, la nouvelle recrue de l'agence Supreme n'a pas fini de faire parler d'elle...
Enfin elle est vraiment canon dans son unicité ( ça se dit ce truc ?!!! )
Bye Coco =)