Bal du Met 2025 : ce qu'il faut retenir

Rihanna profita de l'occasion pour dévoiler sa troisième grossesse toute de Marc Jacobs vêtue (voir ici).
Vêtue d'une tenue qu'elle semblait s'être taillée elle-même dans le costume de son patron, Emma Chamberlain avait l'allure d'une secrétaire en plein burn-out (voir ici).
Vu et revu, l'interprétation premier degré du style masculin/féminin n'a aujourd'hui plus aucune saveur (voir ici).
Respecter le thème de la soirée est une chose, confondre le bal du Met avec un bal costumé en est une autre… (Teyana Taylor)
Zendaya fit sensation dans son costume immaculé imaginé par Pharrell Williams (voir ici). Évoquant à la fois l'élégance des années 70 et l'allure de Grace Jones, sa tenue se distingua par son audace maîtrisée et la précision de sa coupe.
Hailey Bieber ne prit aucun risque… à part peut-être celui de se casser une jambe (voir ici).
Kendall Jenner nous prouva que, même lorsqu'il est revisité, le concept du costume gris peine à se débarrasser de son inhérente morosité (voir ici).
La fusion entre tailoring et robe du soir ne prend malheureusement pas à tous les coups… (Ayo Edebiri)
La provenance de la micro tâche sur la robe Louis Vuitton d'Anna Wintour n'en finit pas de focaliser l'attention des commentateurs.
Robe trop étroite ou mal taillée ? Quoi qu'il en soit, la tenue Jacquemus de Tyla comprimait bien trop sa poitrine pour rester élégante (voir ici).
En confiant à Thom Browne la mission de respecter le dress code de la soirée tout en affirmant sa propre singularité, Anok Yai fit un choix audacieux qui lui permit d'éviter le premier degré navrant perçu chez d'autres invitées (voir ici).
Entre gants effet collants et corsage noir transparent à baleines, Kylie Jenner peina à apparaître élégante (voir ici).
Le total look cuir est rarement synonyme de distinction et la tenue Chrome Hearts de Kim Kardashian ne fit pas exception à la règle (voir ici).
Si le fait d'oublier sciemment le bas de sa tenue put apparaître un temps amusant, ce gimmick sent aujourd'hui le réchauffé : ayant perdu toute son audace, il flirte désormais avec le ringard (Sabrina Carpenter).
À en juger par la robe entièrement composée de lames métalliques portée par Jenna Ortega, on pourrait croire qu'Olivier Rousteing nourrit secrètement des ambitions de couvreur-zingueur… (voir ici)
En imaginant une robe-cravate auréolant l'inoxydable Demi Moore, Thom Browne réinterpréta une nouvelle fois le thème de la soirée avec brio (voir ici). Gigi Hadid ne succomba pas à la facilité en se contentant d'opter pour un costume (ou une version alambiquée de ce dernier) : elle préféra célébrer le thème de la soirée de manière plus subtile en se glissant dans une robe Miu Miu s'inspirant de l'une des toilettes de Joséphine Baker (voir ici).
Porter la même tenue que Zendaya est risqué, tant l'actrice maîtrise l'art de l'élégance. Difficile en effet de rivaliser avec son allure… (Anna Sawai, Madonna)
La frontière entre sensualité et vulgarité, audace et ridicule, féminité et situation gênante est extrêmement ténue, comme nous le prouva - à ses dépens - Halle Berry (voir ici).
Aurora James a apparemment confondu le jour de Pâques avec celui de la soirée du Met… (voir ici)
Monica Barbaro se glissa dans une réinterprétation d'une silhouette iconique de la maison Dior, hélas moins envoûtante que sa version d'origine (voir ici).
Si la robe Miu Miu de Sydney Sweeney était apparemment une ode à celle de Kim Novak, son décolleté évoquait plutôt celui d'une autre actrice…
En cherchant à fusionner citation tailoring et glamour hollywoodien des années 50, la toilette de Miranda Kerr perd en évidence au détriment de l'allure générale de la mutine quadragénaire (voir ici).
Entre volants, mousseline, traîne et manches longuissimes, il aurait fallu choisir… (Ivy Getty)
Couvrir le cou a malheureusement tendance à tasser la silhouette… (Sarah Snook, Rosalia)
S'écarter du thème de la soirée peut se justifier lorsqu'il s'agit d'opter pour une robe particulièrement remarquable ; cela l'est moins lorsqu'on le fait au profit d'une tenue insipide, sirupeuse ou trop premier degré (Natasha Lyonne, Angèle).
Amelia Gray nous rappela qu'aussi talentueux soit-il, Alessandro Michele n'en reste pas moins capable du pire (voir ici et là).
Paillettes, tenue ultra moulante et imprimé léopard ne sont pas faits pour vivre ensemble (Precious Lee).
Shakira n'a apparemment pas compris qu'il n'y aura pas de "Barbie 2", et qu'il est donc inutile de tenter de rivaliser avec la garde-robe de Margot Robbie. En Prabal Gurung, Tessa Thompson avait tout d'un personnage de Tim Burton (voir ici).
Dommage que Demna Gvasalia ait quitté Balenciaga : Vera Wang aurait en effet été parfaite pour intégrer le casting de son prochain défilé… (voir ici)
Quelle que soit la robe portée par Donatella Versace, c'est l'évolution de son visage qui retient avant tout l'attention (voir ici).
Certaines ont choisi de faire de leur montée des marches un moment parfaitement anecdotique… (voir ici, ici et là)
On ose à peine imaginer la taille de la jupe de Miley Cyrus, qui, bien qu'extrêmement mince, vit celle-ci lui ciseler le ventre (voir ici).
"Pourquoi ?" est un mot qui revient malheureusement trop souvent à la vue de certaines tenues de cette soirée au Met (voir ici, ici, ici, ici et là).
Rosa Parks aurait assurément été très flattée de se retrouver sur la petite culotte Louis Vuitton de la chanteuse Lisa. A moins que tout cela ne soit en fait qu'un malentendu…
Il est fascinant de constater à quel point un décolleté mal ajusté peut parasiter une tenue (voir ici).
Lupita Nyong'o brilla en adoucissant les lignes acérées de son costume au contact d'une diaphane cape de mousseline (voir ici).
Pamela Anderson se distingua par une nouvelle coupe de cheveux et un maquillage plus discret que celui adopté par la plupart de ses consoeurs (voir ici).
Traverser un vieux grenier saturé de toiles d'araignées semble apparemment être une inspiration comme une autre (voir ici).
Thom Browne fit encore mouche en dosant parfaitement les tenues hybrides de Mona Patel et de Whoopi Goldberg (voir ici et là).
La cape façon édredon de Serena Williams devrait faire fantasmer celles sujettes aux insomnies (voir ici).
Les pinces poitrines : un détail qui, s'il est mal conçu, peut compromettre toute l'harmonie d'une silhouette (voir ici).